G testé... l'entretien d'embauche

Ce matin je me suis levée aux aurores et j'ai affronté un froid polaire pour aller à un entretien d'embauche. Ce qui est amusant, c'est qu'on me pose des questions qu'on ne me posait pas avant.

Premièrement, je suis instable (1ère nouvelle !) parce que j'ai déménagé plus de deux fois dans ma vie. Je pensais qu'en 2008 on avait dépassé les clivages "je suis née ici, je vis ici, je mourais ici". Apparemment je me suis trompée.

Deuxièment, j'ai occupé plusieurs fonctions différentes. Ca ne veut pas dire que je suis polyvalente mais que je ne sais pas ce que je veux (ah !?).

Et pour couronner le tout, avec mon âge avancé (31 ans), est ce que je ne vais pas me transformer en usine à bébés dès mon contrat signé? Alors oui, j'avoue ! J'attends que les lettres "CDI" s'inscrivent en lettre d'or sur mon contrat pour faire 3 gosses en 3 ans et faire une dépression post-natale de 5. Car il est évident qu'en aucun cas mon but premier est de remplir le frigo, de payer les factures et le loyer. Et si j'ai fait bac + 2 c'est juste pour le plaisir de passer ma vie au téléphone à emmerder les gens.

G testé... "le nail patch"

Fini la prise de tête, les bavures, le temps de séchage, voici le nail patch. Rapide et simple d'utilisation, le nail patch est une véritable révolution. D'abord vous choisissez la taille de vernis adhésif qui convient. Ensuite, retirez le film transparent et appliquer sur l'ongle. Pour enlever l'excédent, il suffit de le replier sous l'ongle et de couper. Attention à ne pas le déchirer ! Le premier ongle est un peu aléatoire mais ensuite ça va tout seul. Vous voilà avec une magnifique french manucure digne d'un salon professionnel.

Les plus: application en 10 mn, pas de séchage, pas de débordement, disponible en plusieurs coloris, peut s'emporter en voyage.

les moins: le prix, tenue 11 jours (à vérifier) car tout dépend de ses activités.

Nail patch de 7.90 à 9.90 € Séphora

G testé... "le gâteau au chocolat et aux crevettes"

Aujourd'hui, j'avoue que je suis paresseuse mais j'ai terriblement envie d'un gâteau au chocolat. Cependant je n'en veux pas un tout fait. Je veux avoir la sensation d'avoir mis un peu la main à la pâte. Je prends donc celui qu'il faut mettre dans un moule et puis au four. Une fois démoulé ça fait plus "authentique". Oui, je sais c'est faux cul mais je compte pas dire que c'est moi qu'il l'ai fait.

Je suis devant mon joli gâteau tout juste sorti du four. Une agréable odeur de chocolat envahit la maison. Bonheur !!! Je me coupe une belle tranche dans laquelle je mords goulûment. Et là, le drame ! Je fais ce qu'il ne faut jamais faire. Je lis ce qui est indiqué en tout petit sur la boite. Je ne sais pas comment ça se passe chez vous mais chez moi un gâteau au chocolat c'est de la farine, du sucre, des oeufs, du beurre et du chocolat. Là horreur ! Il y a du soja, du gélifiant et on précise qu'il peut y avoir des traces de crevettes ! Des crevettes ? Mais qu'est ce que ça vient faire là dedans ? Peut être est ce les crevettes qui s'ennuient au fond de leur bac ? Alors quand elles sont à bout elles sautent dans la préparation du gâteau au chocolat dès que le cuisinier a le dos tourné. Lui quand il se rend compte de ça, c'est trop tard. Comme il ne sait pas combien on fait le grand saut, il marque sur toutes les boîtes "trace de crevettes".

Enfin, voilà une bonne leçon. Ça m'apprendra à jouer les paresseuses.